Qui se cache derrière La Grande Déroute?

Voyageuse éparpillée professionnellement, p’tite mère et étudiante à perpète, j’aime écrire, chercher, transmettre, expérimenter et, par-dessus tout, apprendre. Je m’appelle Bianca et j’ai commencé à bloguer en 2005.

Langagière de formation, je patauge principalement (mais pas que) dans les écrits scientifiques en tant que rédactrice-réviseure linguistique, correctrice d’épreuves, adaptatrice de contenu et vulgarisatrice scientifique. Je suis aussi chargée de communication pour une agence de marketing numérique et autrice chez Helvetiq, Québec Amérique et Lonely Planet. J’ai aussi été, dans une autre vie, enseignante en musique, accompagnante périnatale et étudiante en langues étrangères.

J’aime l’instabilité, les transitions et les changements de situation.

J’aime aussi un peu trop les bières de microbrasserie, la couleur violet, les p’tits coeurs à la cannelle et la coriandre.

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Quelle voyageuse suis-je?

Je ne peux me définir en un style de voyageuse. J’aime expérimenter.

Je voyage presque toujours d’une façon différente (de l’auto-stop et camping sauvage à l’appart-hôtel sur front de mer, en passant par le backpacking classique à l’expatriation temporaire, du voyage à l’arrache extrême petit budget au voyage familial (encore un peu à l’arrache, soyons honnêtes), au nomadisme numérique…

Néanmoins, les années passent et ma façon de voir le voyage évolue. Le lent, le simple, le long et l’ordinaire, tout comme le travail nomade, le slow travel et le worldschooling viennent de plus en plus teinter nos aventures.

Autrefois backpackeuse hyperactive à la bucket-list interminable, je ralentis désormais la cadence et augmente l’intensité, armée de simplicité. Je marche (volontairement ou non) souvent (mais pas toujours) à côté de la carte postale sans toujours bouder ces sentiers qu’on qualifie de battus.

J’aime visiter la banlieue sans histoire, le quartier populaire, magasiner des chaussettes en Bolivie ou choisir un nouveau dentifrice à Taïwan. Je me délecte de l’ordinaire, en fait mon extraordinaire. Je me réjouis d’être ailleurs, d’évoluer dans un autre décor, simplement, modestement.

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Ce que vous trouverez sur ce blog

Je cherche à profiter de l’écriture pour créer un lieu commun à toutes ces passions qui m’habitent et qui teintent mon quotidien personnel et professionnel. De la vulgarisation scientifique à la périnatalité, de l’ethnomusicologie en passant par l’enseignement, la linguistique et le monde brassicole, mais par dessus tout, les voyages, c’est par l’écriture que tous se rejoignent.

Vous trouverez sur ce blog mes récits de voyage, quelques réflexions. Je publie ce dont j’ai envie quand j’en ai envie. Vous pouvez aussi me lire ici et là, ailleurs.

J’aime m’éparpiller.

Vous ne verrez que rarement mes enfants de face sur les photos. C’est un choix réfléchi en ce qui concerne leur identité numérique.

Certains articles sont issus de collaborations ou de partenariats, ou impliquent des liens d’affiliation. Je me fais un point d’honneur de toujours le mentionner. Pour en savoir plus, rendez-vous sur la politique éditoriale du blogue.

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D’où vient La Grande Déroute?

La Grande Déroute, qui a vu le jour en 2005, était au départ un blog personnel que l’on utilisait pour donner des nouvelles à nos amis et familles et sur lequel on consignait nos récits de voyage (Allo, maman! Je suis toujours en vie. Ok bye.)

Il nous a d’abord suivi pour des voyages au long cours en Europe, en Amérique du sud, puis en Océanie.

Au début de l’année 2014, après une longue période d’activités au ralenti durant laquelle d’autres projets ont été menés à terme (comme 3 bébés, 2 entreprises, 1 compagnie, 3 déménagements, 2 changements de carrière et 2 retours aux études), j’ai eu le goût de revoir sa structure, d’y faire le ménage.

Et nous y voilà, en 2022!