Je me suis fait prendre au jeu. Voilà maintenant 4 ans que je me risque aux bilans de fin d’année sur le blogue. Celui-ci est un peu différent : il nécessite un retour dans le temps pour mieux retrouver mes repères aujourd’hui.
2019 : bilan d’une année indescriptiblement folle
→ En 2016, j’affirmais ceci : « J’entretiens une relation d’indifférence/excitation envers les bilans de fin d’année. D’une part, ils m’ennuient au plus haut point; d’autres part, je ne peux m’empêcher, périodiquement, de m’arrêter un instant pour regarder derrière moi et constater l’état des choses, avant d’essayer d’imaginer ce qui se dessinera pour la suite. »
→ En 2017, je rajoutais que ces mots « nagent tellement dans le personnel que je ne vois pas vraiment comment ils pourraient intéresser quelqu’un d’autre que moi. »
→ En 2018, je m’avouais vaincue : « Mais je m’en fous, parce que […] j’éprouve un réel plaisir à le faire. »
→ Cette année, je m’assume pleinement, allant même jusqu’à avouer sans gêne que j’avais hâte de me dénuder par écrit.
Pour lire les bilans des trois dernières années :
- Pseudo-bilan semi-futile de 2016 et prédictions approximatives pour 2017
- Bilan ordinaire 2017 et fantaisies 2018
- Rétrospective et prévisions : Ce que fut (finalement) 2018, ce que sera (peut-être) 2019
Ouvre-toi bière, c’est un peu long
Pour rendre justice à cette année enflammée que je viens de consumer, il me faudra quelque peu voyager dans le temps. Comme je n’ai pas l’habitude de faire dans le court, ouvre-toi une bonne bière (je te suggère la Superpause de Les Grands Bois, c’est ce que je bois en écrivant ces lignes), et lis-moi si le coeur t’en dit.
Et surtout, n’hésite pas à commenter, à me raconter tes p’tites joies ou les difficultés qui ont traversé ton année (parce qu’on a tendance à mettre beaucoup de beau sur les zinternets, et parce que la vie est toujours plus nuancée que ce que l’on veut bien montrer).
Terminer 2018 sur une note aigre-douce…
Fin 2018, j’annonçais, l’année à venir ainsi : « semi-néant à l’horizon pour 2019 ».
Pour vrai. Je n’avais AUCUNE idée de ce qui s’en venait pour moi en 2019. Aucune.
J’écrivais en guide de conclusion : « […] 2018 aura été une année chambranlante, psychologiquement demandante, parsemée de réflexions, de remises en question, de hauts et de bas difficiles à interpréter. […] J’achève 2018 avec un drôle de sentiment que je n’arrive pas à décrire. Ni négatif, ni positif. Flottant, flou. »
J’avais usé d’euphémismes, parce qu’en réalité, je n’allais pas très bien.
J’avais terminé avec ceci : « Je laisse le temps au temps de dépatouiller tout ça, mais une chose est certaine, 2019 me fera voyager, avancer et m’épanouir. »
Cette dernière phrase. Cette magnifique dernière phrase que je lançais là, en bas de page, comme un souhait. Comme une bouée pour me rescaper d’une petite tempête intérieure…
Ce que fut finalement 2019, contre toute attente
2019, contre toute attente, ça a été :
- l’année où j’ai pris le plus soin de mon corps
- l’année où j’ai pris le plus soin de mon âme
- une des années les plus enrichissantes sur le plan humain
- l’année où j’ai souri le plus facilement
- l’année où je me suis le plus écoutée
- l’année où je me suis le plus exprimée, même quand c’était difficile
- l’année où la musique s’est replacée dans ma vie là où elle le devait
Ça, c’était un résumé. Si t’es ici pour des statistiques de blogues, scrolle vers le bas. Sinon, bonne lecture.
2019, moi et le centre de l’univers
Cette année, je me suis fait tourner autour de mon nombril à m’en étourdir, négligeant parfois, consciemment, ceux qui m’entourent, mais qui ne courent pas assez vite pour suivre ma spirale infernale.
Je me suis mise en avant-plan.
Je me suis assumée. ASSUMÉE.
Assumée dans mes envies, mes valeurs, mes désirs, mes besoins. Je me suis exprimée, aussi. Et j’ai agi en conséquence.
Mais qu’est-ce que t’avais donc tant que ça à assumer, Bianca?
Un méchant paquet de choses, tu sauras.
Un paquet de choses que je ne nommerai pas toutes ici (on en finirait plus). Mais, entre autres, nommons mon besoin de déplacement, cette impression d’avoir vécu ma trentaine avant ma vingtaine, cette place si importante que prennent les amitiés dans ma vie, mon besoin de revenir à mes premières amours, de fêter, de prendre soin de moi, de laisser aller des relations difficiles d’entretien et de donner plus d’attention à celles qui offrent plus de raisons de rire que de pleurer, ces peurs et ces limites que je m’impose et que je tente de surmonter une à une, mais que je dois commencer par reconnaître…
– Vas-tu aller jusqu’à assumer les p’tits cheveux blancs qui commencent à pousser?
– Charrie pas.
Bref, cet état d’esprit a teinté mon année jusque dans mes tripes, a entaché mon parcours scolaire, s’est inscrit dans mon agenda et m’a amenée à faire des choses extraordinaires, à m’éloigner de cette foutue zone dont on sort dans les belles citations sur fond de coucher de soleil choppé sur pixabay, à être bien.
2019, la vie, la mort et leurs intensités…
En 2019, la vie et la mort dans toute leur intensité nous sont rentrés dedans bien comme il faut.
Je clame d’entrée de jeu qu’elle fût une année extraordinaire et… j’enchaîne avec des histoires tristes! Branche-toi, fille.
Oui. Je vais là.
Parce qu’elles font partie de la vie, ces histoires qui mouillent les yeux de peine. Parce que même si on préférerait ne pas les subir, elles rapprochent les gens, ces histoires douloureuses. Elle rajoute de la valeur aux vraies choses, en enlèvent au superflu.
Et parce qu’une année peut être belle, même si elle est parsemée de drames. Et parce que je ne pouvais pas ne pas en parler, parce qu’on ne les oublie pas ces enfants qui partent avant d’avoir appris à faire des mauvais coups…
2019, moi et la musique
Ça fait quelques années que je dis que je veux remettre la musique là où elle était avant : au coeur de mon quotidien. Je disais l’année dernière « avoir entamé une réconciliation avec mes instruments d’une autre vie », rajoutant que « je faisais du on and off ».
Pour ce qui des instruments, c’est bon, c’était revenu avec la nouvelle année.
Mais depuis quelques années, je faisais preuve d’une certaine lâcheté musicale, préférant toujours remplir mes oreilles de ce qui me faisait vibrer déjà – des valeurs sûres – telle une mélomane surchargée émotivement, dont le cerveau manque d’espace pour s’attarder à de nouveaux sons, pour laisser une chance à ce qui ne plait pas à la première écoute, pour tenter de comprendre ce qui agace avant de jeter un verdict.
Cette année, particulièrement dans les derniers mois, j’ai retrouvé cette envie – ce besoin – d’explorer des mélodies, de déstabiliser mes tympans, de me frotter à de nouveaux styles et d’inclure de nouvelles sonorités à ma trame vitale. Ce n’est pas arrivé par hasard, c’est une personne en particulier qui a déclenché ce retour aux sources. (Si tu me lis et te reconnais : merci.)
2019, moi et mon body
En 2018, je disais vouloir « remettre un peu l‘activité physique dans ma vie », que « c’était chose à moitié faite ». Pour être honnête, les derniers mois de 2018 ont amené leur lot de symptômes difficiles à décrire, mais certainement pas positifs. Sur le corps, mais sur l’humeur, surtout.
J’ai donc voulu trouver comment on fait pour avoir ENVIE de bouger. Aller mieux, aussi, peut-être.
Mettre l’activité physique au coeur de ma vie : probablement la réalisation dont je suis le plus fière, qui me semblait le plus difficile, et c’est avec l’aide d’une kinésiologue (qui ne sait probablement pas à quel point, en deux petites rencontres, elle a pu m’aider) et par la nature que ça s’est fait. La dernière fois où j’ai été aussi en forme et active, je devais avoir 14 ou 15 ans…
Si on m’avait dit qu’un jour je m’exciterais à l’idée de magasiner un softshell et que je développerais une passion pour les bas en mérinos…
2019, moi et l’importance des amitiés
Cette année a définitivement été marquée par les amitiés. Des nouvelles, beaucoup. Mais aussi d’anciennes qui se sont consolidées. Et certaines qui se sont estompées (ça arrive).
Les amitiés prennent une importante place dans ma vie. Une façon peut-être de patcher l’enfant unique, de compenser pour une famille élargie à format réduit.
Cette année, j’ai rencontré un nombre impressionnant de nouvelles personnes, certaines en contexte professionnel, d’autres par personnes interposées, ou encore à travers les réseaux sociaux, au courant d’un voyage de presse par-ci, au détour d’un pur hasard par-là.
Certaines semblent être là pour rester, apportant une nouvelle teinte à l’enrichissante palette des relations humaines qui me porte. Tous et toutes les nommer serait un exercice périlleux et voué à l’insuccès. Mais merci d’être entré.e.s dans ma vie.
Je pateauge dans le personnel pas à peu près cette année! T’aimes pas ça? M’en fous. En même temps, tu t’es rendu jusqu’ici, ça ne doit pas être si pire… T’as peut-être fini ta bière. C’est bon, vas-y pour une autre. Je te propose une Gosebuster, du Trèfle Noir.. Tiens bon, les fameuses stats s’en viennent.
2019 pour La Grande Déroute
Alors, le blogue, le blogue. Eh bien, il a théoriquement 16 ans, mais fête ses 6 ans sous sa forme actuelle.
La Grande Déroute sur les réseaux sociaux
En 2018, je souhaitais augmenter les échanges avec vous. C’est Instagram, contre toute attente, qui m’a menée à atteindre ce but. Big time à part de ça. Je m’amuse très sincèrement avec les stories, qui m’ont même permis de faire de superbes rencontres. Vous commentez de plus en plus, m’écrivez souvent en privé et j’ai bien du plaisir à vous suivre en retour, à participer aux conversations et à apprendre à mieux vous connaître.
Autre chose que j’aime particulièrement de la communauté sur Instagram, c’est qu’elle me permet d’inclure un peu plus facilement plusieurs de mes passions et de sortir plus naturellement du cadre du voyage.
[instagram-feed]
J’ai un peu délaissé la page Facebook, que j’utilise de temps à autres pour partager ou annoncer, mais sans m’y investir autant qu’avant. Vous y êtes néanmoins maintenant plus de 2200.
Même chose pour Twitter : je l’ai un peu délaissé et ne le conserve que pour certains liens que je ne retrouve pas ailleurs.
En ce qui concerne Pinterest, je lui ai donné un peu moins d’amour que les autres années, sans que ce soit volontaire.
2019 sur le blogue : les fameuses stats
Voilà, voilà, la partie où on aime bien zieuter les chiffres. Je n’ai pas un grand bilan à faire du côté du blogue, les choses ont coulé doucement et joliment cette année, mais voici, en vrac :
→ Seulement 23 articles ont été publiés en 2019, soit environ 2 articles/mois en moyenne. Il s’agit de la plus petite année en matière de quantité d’articles, mais de la plus grosse en ce qui concerne le nombre de visiteurs.
→ En effet, vous avez été plus de 180 000 visiteurs à venir faire votre tour par ici, comparativement à 132 000 en 2018 (et à 55 000 en 2017). Vous avez lu plus de 250 000 pages, et avez passé en moyenne 4 minutes par page.
→ Vous arrivez toujours en très très grande majorité de la recherche organique, voire dans une proportion un chouia plus grande qu’avant.
→ Vous venez à peu près des mêmes endroits qu’avant et avez environ les mêmes âges qu’avant (avec une majorité dans les 25-34 ans).
En 2019, l’article…
… qui a fait couler le plus d’encre dans les commentaires : Homeexchange et Guesttoguest : une fusion qui fait réagir
… le plus personnel : Aujourd’hui, j’ai 35 ans
… le plus partagé : 5 plages à visiter dans les Asturias. (Mais si l’on tient compte de l’effet de récence, il est intéressant de mentionner aussi Découvrir les Îles de la Madeleine par la randonnée pédestre.)
… que j’ai eu le plus de plaisir à écrire : Visiter les Îles de la Madeleine en novembre, c’est comment?
Voyages de presse, partenariats et collaborations
Cette année, j’ai réalisé de rares mais fort excitantes collaborations.
C’est aussi officiellement l’année où j’ai eu la chance de rencontrer le plus de collègues blogueurs.euses/créateurs.trices de contenu, notamment, avec ma participation au Salon des blogueurs voyage 2019, à Lille, mais aussi à travers différents événements et voyages de presse dont, notamment :
→ Un Beer tour à Paris avec l’Échappée Bière (#invitation)
→ Un Blogtrip à Lille sur le thème de la musique, en tant que blogueuse invitée du Salon des blogueurs de voyage 2019 (WAT19), avec HelloLille
→ Ce fameux WAT19
→ Ce voyage de presse sur la Côte d’Opale, dans le cadre du lancement de Randos Bière en France, avec Novomonde et Tourisme Pas-de-Calais
→ Ce voyage de presse dans Lanaudière, pour la campagne #RapprochezVous (#partenariat rémunéré avec Tourisme Lanaudière et VoyageNumériQc)
2019, en voyages
Sur les routes du Québec en famille
D’abord, on a débuté l’année – comme elle se termine – en Abitibi.
Au printemps, monsieur est parti quelques fois en voyage d’affaires (comme d’hab’). Puis, en pleine session universitaire, je me suis poussée à Paris (où j’ai assisté à Planète Bière Paris 2019, ai testé un beer tour avec l’Échappée Bière, et où j’ai marché 115 kilomètres en 4 jours dans les différents quartiers de la ville lumière, sans jamais m’arrêter), après quoi je me suis dirigée vers Lille pour le WAT19, puis vers la Côte d’Opale pour un blogtrip (dont j’ai parlé plus haut).
En mai, on avait décrété qu’on passerait l’été au Mexique et au Belize. Un plan qu’on a abandonné (pour cette fois), parce que « la vie ».
J’ai ai parlé ici : Cet été, on reste au Québec!
Fin juin, nous sommes donc partis 10 semaines sur les routes du Québec, en famille, à butiner de région en région à grands coups de homesitting, de petsitting et de travail nomade à 3 h/jour. Un voyage bien local qui s’est naturellement transformé en tournée des microbrasseries (et des bars laitiers, dans une proportion quasi équivalente).
J’ai ai parlé ici : Notre été : 2 mois au Québec en famille et travail nomade
En gros, on a enchaîné :
- 12 jours en Abitibi-Témiscamingue
- 10 jours dans les Cantons-de-l’Est
- 6 jours en Outaouais
- 7 jours dans les Laurentides
- 10 jours à Montréal
- 5 jours en Mauricie
- 6 jours à Québec, durant lesquels je me on s’est aussi promenés du côté de Lotbinière et de la Beauce
- 8 jours en Gaspésie
- 6 jours à Québec, durant lesquels on s’est déplacés dans Portneuf et dans Bellechasse
2019, sur les routes avec moi-même
Puis, fin août, on est revenus…
Monsieur est reparti en voyage…
Les enfants ont commencé l’école…
J’ai entamé ma session universitaire…
Puis, j’ai changé d’idée.
Sur un coup de tête, j’ai annulé mon inscription à la session d’automne et suis repartie sur les routes, à grands coups de roadtrips solo ou entre amis.
Des escapades désorganisées, comme je les aime, composées de trop d’arrêts dans les microbrasseries, de « où-est-ce-qu’on-couche-à-soir-aucune-idée », de plans ben trop sketchs, de coups de tête, de randonnées, de fous rires, d’improvisation, de conversations super sérieuses, de conversations pas du tout sérieuses, d’insides forgés à force de déconnage, de route, de beaucoup de route, de temps avec moi-même, d’énormément de musique, et surtout de plein de beau.
Je n’avais pas encore fait le tour de moi-même, faut croire.
En gros, j’ai sautillé à gauche et à droite, revenant de temps en temps à la maison, crashant sur des divans un peu partout, m’éparpillant à travers la province, partant tantôt en solo, tantôt entre ami.e.s…
Ces errances semi-contrôlées m’ont menée, de septembre à novembre, entre autres :
- en Abitibi
- sur la Côte-Nord
- dans Lanaudière (2 X)
- en Gaspésie (2 X)
- en Mauricie (2 X)
- en Montérégie (2 X)
- dans les Cantons-de-l’Est
- au Saguenay-Lac-Saint-Jean (2 X)
- dans le Bas-Saint-Laurent (3 X)
Mes envies pour 2020
Je termine donc cette année avec un ravissant sentiment d’exaltation qui ne me lâche plus et j’entrevois déjà 2020 d’un oeil plus que positif.
Attention, ça ne veut pas dire que je ne traîne pas quelques boulets, tout le monde en porte.
En 2020, j’aimerais (ou je prévois) :
- M’initier à la longue randonnée
- M’initier à la rando hivernale avec nuitée en refuge
- Continuer sur ma lancée en ce qui concerne l’activité physique
- Faire un autre voyage solo
- Participer au brassage d’une bière
- Barouetter ma petite famille quelque part, encore
- Partir en voyage avec un.e ami.e
- Participer à un podcast
- Avancer (encore un peu) dans mon parcours universitaire
Et vous, votre année 2019, elle se décrit comment? De quelle façon entrevoyez-vous 2020?
14 commentaires
Ce qui s’est confirmé cette année, c’est que tout finit par se ré-équilibrer et que même lorsqu’on croit qu’on ne pourra égaler l’année précédente, il nous arrive toujours de nouveaux projets emballants! Une année chargée pour toi mais je sais que la prochaine sera grandiose! ;)
J’espère que je serai une de ces amitiés qui restent!
Tout finit par se rééquilibrer = tellement!
J’espère aussi que notre amitié restera et qu’on se croisera à nouveau en 2020 ;) xx
Quel beau bilan! J’adore ta plume, posée et emballée à la fois. ;-)
Qui sait, peut-être pourrons-nous enfin se croiser en vrai en 2020… je lance ça dans l’univers et il s’arrangera avec le reste. Je te souhaite, à toi et ta famille, une très belle fin d’année et une merveilleuse nouvelle année.
Merci!!!
J’espère aussi sincèrement te croiser en 2020!(On est si proche en plus). Ce serait un réel plaisir :)
Je te souhaite aussi une belle fin d’année et beaucoup de beau et de doux pour celle qui s’en vient.
Un beau bilan 2019 et je te souhaite que 2020 soit tout aussi florissante !
2019 s’est résumé chez moi par beaucoup de travail, presque même trop. J’ai cru frôler la dépression tellement je me noyais dans les heures de travail, rédaction, retouche .. Je n’ai pas sorti la tête mais j’ai su ralentir le rythme et tant pis si je ne publie pas autant que je le souhaiterai.
En 2019 j’ai beaucoup voyagé au Canada et ai pris plaisir à découvrir mon pays d’adoption.
Ces voyages m’ont finalement mis la vérité en face : je connais très mal mon propre-pays.
Alors c’est l’un des objectifs de 2020 :)
Bonjour Amélie et merci pour ce commentaire!
Le travail, le travail : il est si difficile de ne pas s’y noyer. L’été dernier, on a adopté un rythme de 3h/jour (parfois un peu plus, quand il pleuvait, parfois un peu moins, quand on avait beaucoup de route à faire) et franchement, on s’est rendu compte qu’en travaillant efficacement et au bon moment, 3 heures pouvaient être autant prolifique que 6 (parfois, on s’entend, que ça ne marche juste pas, mais quand même!). Ralentir le rythme, dans tous les aspects, DONT le travail ne fera jamais de tort à personne.
Tu vois, cette année est l’année où j’ai le moins publié sur le blogue, mais celle où j’ai eu les plus belles collaborations et obtenu les plus beaux contrats.
Et pour avoir visité la province durant les 5 derniers mois : j’en étaits venu à la même conclusion que toi. Maintenant, il me restera le reste du Canada, hehe!
Je te souhaite plein de beau, de doux et de LENT en 2020 ;)
Cela fait plaisir de te lire ainsi Bianca et de voir que l’on a sans doute partagé quelques réflexions communes. Je suis ravie de te voir si épanouie, dans ton corps, dans ta musique, dans tes relations et que tu t’assumes plus! Au plaisir de discuter de tout ça en vrai un de ces quatres, de ce côté ou de l’autre de l’Atlantique. Je t’embrasse.
Awww Lucie <3 Quelle belle surprise par ici! C'est drôle, je pensais justement à toi hier, me demandant comment tu allais!
J'espère fort fort qu'on se recroisera cette année xx
C’est le pouvoir de la synchronicité ça :) Je crois que l’article que je viens de publier te parlera peut-être si ça te dit d’aller le lire! A très bientôt! Des bises!
Oh! J’avais pas vu passer! Xxx
Je suis très heureux de voir que tu as passé 2 fois dans le paradis du Sagurnay Lac St Jran. Certainement les meilleurs moments de ta visite! ♡♡
Décidément d’excellents moments! Faudra d’ailleurs que j’y retourne et ça me plaît bien!
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